Tragédie aérienne du pic de la Camisette

Tragédie aérienne du pic de la Camisette

Après avoir perdu manifestement son cap alors qu’il devait faire escale à Marseille pour rejoindre les Indes, un avion militaire Anglais de type Dakota heurta la crête de la montagne le 5 décembre 1944 et fut précipité quelques 100 mètres plus bas, se disloquant dans le pierrier émergeant de la neige. À son bord, vingt pilotes de planeurs du « Gilder Pilot Regiment » et trois membres d’équipages de  la Royal Air Force. Six militaires seulement survécurent. Deux d’entre eux se lancèrent dans une descente dantesque pour aller chercher du secours dans un environnement hivernal inconnu et hostile.

Noir c’est noir, mais il y a de l’espoir

Noir c’est noir, mais il y a de l’espoir

Tout le monde peut le constater, le revêtement des rues du village se dégrade périodiquement.
La cause en revient en principal aux conditions et variations climatiques saisonnières.
Nous subissons en effet le gel et le dégel, de fortes pluies qui dévalent nos rues en pente et bien sûr le soleil ardent estival.
Si l’on ajoute à ces facteurs quelques mouvements de terrain, le passage des engins de déneigement, l’action du sel…l’on peut comprendre aisément ce que subit le revêtement, selon d’ailleurs la technique de goudronnage employée.