Rénovation de la voirie

Tout le monde peut le constater, le revêtement des rues du village se dégrade périodiquement.

La cause en revient en principal aux conditions et variations climatiques saisonnières.

Nous subissons en effet le gel et le dégel, de fortes pluies qui dévalent nos rues en pente et bien sûr le soleil ardent estival.

Si l’on ajoute à ces facteurs quelques mouvements de terrain, le passage des engins de déneigement, l’action du sel…l’on peut comprendre aisément ce que subit le revêtement, selon d’ailleurs la technique de goudronnage employée.

Ainsi par exemple, le moindre trou dans lequel l’eau s’engouffre devient rapidement un « nid de poule » qui se creuse constamment, etc.

Seule la rue de « La Pujade » échappe à une détérioration rapide car elle fut équipée, lors des travaux d’assainissement, de grilles transversales qui arrêtent le flux d’eau torrentueux qui déboule lors des orages ou précipitations violentes.

Les rues les plus concernées par une réfection sont :

Rue de Balbonne, Le Faturat de l’angle de l’hôtel à la place de la Couillade ; une partie de la rue de la fount Caouda et la Rue de l’ancienne poste.

Nous avons fait établir un devis qui s’élève à 77924 € pour leur réfection en enrobé à chaud et pose de grilles transversales pour certaines d’entre-elles.

On comprendra qu’en regard de ce coût, la réalisation de tout ou partie de la rénovation de la voirie nécessitait non seulement un débat lors du Conseil municipal du 4 décembre dernier, mais également une prise de conscience des habitants quant à la charge que représentent ces travaux sur le budget modeste de la commune.

Après débat, le Conseil municipal a décidé de confier à l’entreprise ariégeoise Rescanières la rénovation seulement des rues suivantes :

  • Une partie de la rue de la fount Caouda de Chez BernardPerrin à chez Émile Resplandy
  • La rue du Faturat , derrière le Relais de Pailhères jusqu’à la place de la Couillade.

Coût de l’opération : environ 30 000 €.

Les travaux sont programmés à partir du mois de juillet ou septembre 2022.

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Photographie de la rue de la Pujade dans les années 1950, avant l’apparition du goudronnage. Document fourni par Madame Annie Samaran.